OSTEOPATHIE VILLERAY MONTREAL

L’ostéopathie au coeur de Montréal, Villeray.

17 mai 2013
de Clinique d'Ostéopathie Olys Villeray Montréal
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Les mouvements du crane vue par un osteopathe

Cette vidéo illustre comment un ostéopathe visualise les structures du crane lors d’un traitement.

On remarque aussi que de petits mouvements fins qui ressemblent à une respiration, ces mouvements sont aussi appelés le MRP (Mouvement Respiratoire Primaire) qui illustre la force biodynamique que l’ostéopathe sait utiliser lorsque le patient croit que l’ostéopathe s’est endormit durant une technique.

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=J2oVjn2ALLE]

La clinique d’ostéopathie Olys base ces traitements sur l’utilisation du MRP.

Si vous avez des questions n’hésitez pas à nous contacter.

 

25 avril 2013
de Clinique d'Ostéopathie Olys Villeray Montréal
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Jennifer Aniston

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Jennifer Aniston (photo), une des actrices vedette de la série FRIENDS, aurait recourt à l’ostéopathie pour augmenter ses chances de tomber enceinte.

 

Peut être qu’elle est venu à la clinique d’ostéopathie Olys ?

 

Sources: Gala.fr

23 avril 2013
de Clinique d'Ostéopathie Olys Villeray Montréal
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Le Kale ou chou frisé

Découvrez pourquoi le kale est l’un des aliments les plus sains qui soient sur la planète.

kale

Jusqu’à tout récemment, seules les vitamines A à zinc étaient prises en considération sur le plan nutritionnel, mais la consommation d’une variété de phytochimiques (comme l’indole-3-carbinol, que l’on trouve dans le chou) aide aussi l’organisme à se détoxifier et se réparer, nous protégeant ainsi des maladies. De plus, voici cinq autres raisons pour lesquelles vous devriez faire le plein de ce légume de saison lors de vos prochaines emplettes au marché :

1. Le kale prévient l’inflammation et préserve la santé des os : le kale a une forte teneur en vitamine K, qui favorise la densité osseuse et aide à prévenir l’ostéoporose. Une carence en vitamine K dans notre régime alimentaire peut également causer des inflammations excessives dans l’organisme pouvant causer des douleurs et des symptômes arthritiques.

 

2. Améliorez l’apparence de votre peau grâce au kale : la vitamine A, que l’on trouve dans le kale, aide à traiter et prévenir l’acné en raison de ses effets anti-inflammatoires. Les rétinoïdes que renferme la vitamine A préviennent l’acné inflammatoire et réduisent la surproduction de sébum. Une tasse de kale renferme plus de 100 % de la dose quotidienne requise en vitamine A.

 

3. Choisissez le kale pour prévenir la goutte et les calculs rénaux : le kale est une bonne source de vitamine C, qui aide à prévenir l’accumulation d’acide urique dans l’organisme. Une telle accumulation peut se déposer dans nos reins et nos articulations, ce qui pourrait entraîner l’apparition de la goutte et de calculs rénaux.  

 

4. Le kale est riche en fibres solubles : les fibres solubles se lient efficacement aux acides biliaires et aux lipides dans notre intestin, producteurs de cholestérol dans l’organisme. Ceci réduit la quantité de cholestérol, et donc, le risque global de développer des maladies cardiaques.    

 

5. Le kale pourrait aider à prévenir certains cancers : le kale renferme des composés qui jouent un rôle dans la réduction des risques liés aux cancers de la vessie, du sein, du côlon, des ovaires et de la prostate en inhibant la croissance de tumeurs.

Un petit bémol, le kale présente une chair dure donc un peu difficile à mâcher et digérer.
Pour bénéficier de son aspect nutritif on peut la consommer sous forme de jus. Je conseille l’utilisation d’extracteur, comme le Vitamix ou le nutribullet, le deuxième choix est nettement moins chère si on veut se faire des petits jus de temps en temps sans nécessairement devenir un spécialiste ou un gros producteur.

18 avril 2013
de Clinique d'Ostéopathie Olys Villeray Montréal
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La sieste chez les enfants

bbsymboleSi votre enfant de 2½ ans dort seulement huit heures par nuit, ne veut plus faire de sieste et se comporte bien durant la journée, il est tentant de conclure qu’il n’a pas besoin de plus de sommeil. Détrompez-vous, huit heures de sommeil sont rarement suffisantes pour un enfant de cet âge. Encore de nos jours la plupart d’entre nous pensent au sommeil comme une cessation d’activité, un oubli dans lequel nous glissons et où rien ne se passe. Or c’est exactement le contraire.

En fait, dormir est aussi essentiel à l’enfant que d’être nourri et aimé. Nous savons maintenant avec la science du sommeil que cette période dans lequel nous passons le tiers de nos journées en moyenne, et c’est beaucoup plus chez les enfants, est loin d’être une simple mise en veilleuse de notre activité mentale et physique. Chez l’enfant, pendant que son corps dort, sur le plan physiologique, il y a aura entre autres, la sécrétion de l’hormone de croissance, l’élimination des déchets, le renforcement de son ossature, la cicatrisation des plaies (les bobos) et surtout la réponse de l’activation immunitaire (c’est pendant qu’il dort que son corps combat les virus). Sur le plan intellectuel (durant un stade particulier du sommeil) aura lieu entre autres, le traitement de l’information et la mémorisation, la maturation du système nerveux central, l’apprentissage de nouvelles matières, l’adaptation émotionnelle, etc…

La planification des siestes est donc importante, elle doit s’ajuster en fonction de l’âge et des besoins en sommeil de l’enfant. Le nombre de siestes dans la journée varie selon l’âge de l’enfant. Même si certains enfants sou­haitent abandonner la sieste dès l’âge de 2 ans, une période de repos (étendu sur son matelas sans dormir) peut très bien remplacer la sieste. Il n’est pas rare de les voir s’endormir. Combien de siestes l’enfant doit-il faire par jour ? Voici quelques repères :

  • De 0 à 3 mois : 4 à 6 périodes de sommeil dans la journée. En fait, durant la journée, il devrait demeurer éveillé un maximum de 2 heures à la fois.
  • Vers 4 à 6 mois : une sieste le matin, une en début d’après-midi et une autre en fin d’après-midi, tout en respectant le maximum de 2 heures d’éveil entre les périodes de sieste.
  • De 9 à 16 mois : une sieste en matinée et une autre en début d’après-midi.
  • À partir de 18 mois : une sieste en début d’après-midi.
  • Entre 2 et 3-4 ans : une sieste, immédiatement après le repas du midi.
  • Vers l’âge de 4-5 ans : une période de repos. En fait cette période de repos devrait demeurer toute la vie. Physiologiquement le corps réclame ce temps d’arrêt en début d’après-midi. Certains professeurs l’ont compris et intègrent un moment de détente après le repas du midi où à tout moment de la journée si les enfants sont très agités. En l’absence de locaux aména­gés, ils imposent un temps d’arrêt obligatoire : assis à leur petite table, les enfants ferment les yeux et appuient la tête sur leur bras.

Chez les enfants, bien souvent le refus de faire la sieste n’est qu’un jeu dans lequel il s’oppose aux règles éta­blies. Ainsi, il s’affirme en tant qu’individu doté de carac­tère et de personnalité. Il est suggéré aux adultes (parents et éducateurs) d’accepter qu’un enfant refuse de faire de sieste, on ne peut forcer personne à dormir. Mais ATTENTION, il est primordial d’installer un temps de repos où l’enfant se trouve allongé sur son matelas ou dans son lit, les yeux ouverts s’il le désire, mais sans aucune stimulation de quelque sorte (jouet, livre ou autre). Chez les plus vieux, après quarante-cinq minutes de repos sans bruit, l’enfant qui ne s’est pas assoupi sera autorisé à se lever. Dans un milieu de garde, ces enfants pourraient participer à une activité calme, tel que lec­ture, casse-tête ou coloriage jusqu’à ce que les autres soient éveillés. Il faut éviter qu’un bénéfice se créer à l’idée de ne pas vouloir dormir cependant. Afin de répondre à leur désir de jouer, certains enfants sont prêts à mettre tout en œuvre pour sauter la période de dodo de l’après-midi. Soyez vigilent ! Le rôle du parent ou de l’adulte qui en prend soin est de répondre aux besoins de l’enfant (dormir est un besoin fondamental !) et d’entendre le désir de l’enfant sans toutefois y répondre.

Si votre enfant ne veut plus faire de sieste et qu’aucune période de repos n’a été instaurée pour la remplacer, il faut veiller à ce qu’il n’accumule pas une dette de som­meil. Certains symptômes pourront démontrer l’insuffisance de repos. Contrairement à l’adulte dont le manque de sommeil se traduit par de la fatigue et une somnolence diurne, chez les enfants la somnolence n’est pas toujours le signe prépondérant. Il faut être attentif à des signes tels que :

  • L’hyperexcitabilité,
  • l’irritabilité,
  • les colères,
  • l’intolérance à la frustration,
  • l’intolérance au changement,
  • les pleurs,
  • une humeur changeante.

Les conséquences de la privation de sommeil chez l’enfant sont nombreuses. Il est totalement faux de croire qu’un enfant privé de sa sieste s’endormira plus facile­ment le soir venu. Au contraire, l’excès de fatigue peut retarder l’endormissement ; la soirée risque d’être fati­gante pour lui et éprouvante pour ses parents. Plus le niveau de fatigue est élevé, plus il est difficile de s’endormir, cette règle se vérifie tant pour les jeunes que pour les adultes. Par ailleurs, un enfant que l’on empê­che de faire la sieste s’habitue à lutter contre les signes de fatigue et a plus de difficultés à s’abandonner aux bienfaits du sommeil.

Parmi les conséquences néfastes d’une dette de som­meil chez l’enfant, on remarque que l’apprentissage et la capacité d’attention sont affectés ; il s’adapte moins faci­lement aux nouvelles situations ; le système immu­nitaire est affaibli donc celui-ci est plus sujet à contrac­ter des infections de toutes sortes.

Afin que la sieste remplisse efficacement son rôle, deux points sont à respecter :

  • La sieste de l’après-midi doit suivre le repas du midi, sinon l’enfant dormira trop tard dans l’après-midi. Or, pour bien dormir la nuit, il faut un temps de veille suffisamment long entre la dernière sieste et le moment du dodo en soirée. Cette sieste devrait s’engager vers midi 30 – 13 heures et se terminer au plus tard à 15 heures.
  • La sieste ne doit en aucun temps être associée à une punition par des propos tels que Si tu n’es pas sage, tu iras faire la sieste ou bien, Tu es infernal aujourd’hui, va faire la sieste ou encore qu’elle soit associée au statut de bébé Tu es un bébé, il est normal que tu fasses une sieste. La sieste est alors mal vécue et ne représente plus une pause bénéfique dans l’activité de la jour­née.

Enfin, un enfant a assez dormi lorsqu’il s’éveille est de bonne humeur ET n’a pas de signe de fatigue dans l’heure qui suit !

Brigitte Langevin, auteure, conférencière et formatrice
Comment aider mon enfant à dormir
www.brigittelangevin.com

11 avril 2013
de Clinique d'Ostéopathie Olys Villeray Montréal
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Mal tout le temps dans l’dos ou La lombalgie Chronique

La lombalgie chronique est le problème de santé publique le plus important dans le monde. Une lombalgie est un état douloureux du rachis lombaire. Il s’agit du mal de reins ou, quand l’affection résulte plus exactement d’un mouvement excessif, du tour de reins. La lombalgie peut être aiguë (il est alors question de lumbago) ou devenir chronique, invalidante.Cet article résume la découverte principale d’un supplément du journal Acta Orthopaedica qui est basée sur la thèse du doctorat de Paul Willems.

Chez les patients lombalgiques chroniques, on retrouve souvent une dégénérescence du disque ou des facettes articulaires. Cependant, on peut aussi les observer dans les populations asymptomatiques.La fusion intervertébrale lombaire peut être bénéfique pour certaines personnes. Cependant prédire quel individu va en bénéficier reste difficile. Beaucoup de chirurgiens se servent de quelques tests supposés pouvoir prévoir les résultats de la fusion intervertébrale. Les trois tests les plus communs sont l’immobilisation dans une orthèse lombo-sacrée, la provocation discale (ou discographie provocatrice) et la fixation transpediculaire externe provisoire.
Les études présentes dans cette thèse concluent qu’aucun de ces trois tests n’est prouvé par des preuves actuelles. Aussi, il n’existe aucun critère permettant de définir pour quels patients la fusion intervertébrale sera efficace. Plusieurs études ont actuellement prouvé que le traitement conservateur aboutit à des résultats similaires à ceux de la fusion intervertébrale. Le traitement conservateur a un coût moins élevé, une morbidité plus faible et entraine moins de complications. Les fusions intervertébrales ne doivent donc pas être proposées comme traitement standard pour les lombalgies chroniques.

 

Source :

Willems, Acta Orthopaedica (Suppl. 349) 84 (2013) 1-37. Tous droits réservés à Informa Healthcare Ltd.
Traduit par Thomas Gioan, BSc.

9 avril 2013
de Clinique d'Ostéopathie Olys Villeray Montréal
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Le Bio est il scientifiquement recevable ?

Dans le cadre d’une recherche, des scientifiques ont mesuré les résidus de pesticides organophosphorés présents dans l’urine d’enfants américains âgés de 3 à 11 ans. Lorsque les enfants étaient nourris avec des aliments conventionnels, des résidus de pesticides étaient « détectables » dans 91% des échantillons d’urine. Cinq jours après que ces enfants soient passés à une alimentation principalement biologique, les résidus de pesticides dans leur urine s’avéraient « non détectables » ou « quasi non détectables ». Manger bio fait donc une différence.

L’Environmental Protection Agency reconnaît que 112 types de pesticides enregistrés aux États-Unis sont identifiés comme étant cancérigènes ou susceptibles de l’être. Des liens sont établis entre la présence de pesticides dans l’environnement et l’augmentation des risques de cancers du cerveau, du sein, de l’estomac, de la prostate et des testicules, ainsi que de leucémie infantile. Plusieurs pesticides chimiques sont d’importants perturbateurs endocriniens. Jouant sur nos hormones, ils peuvent provoquer des effets en cascade sur notre système immunitaire (allergies), notre système reproducteur (troubles de la fertilité), mais aussi sur notre humeur et même nos facultés intellectuelles.

lire l’article complet

6 avril 2013
de Clinique d'Ostéopathie Olys Villeray Montréal
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Le Curcuma : la super-épice

radici-di-curcuma-agoji-antixydant-naturelLa meilleure épice anticancer

La curcumine est, parmi tous les nutriments, celui dont les effets sur le cancer sont les mieux documentés dans la littérature scientifique.

La curcumine est un dérivé du curcuma, le pigment qui donne au curry sa couleur jaune-orangé.

C’est un composé qui a été l’objet de nombreuses études, et dont les effets sur la santé sont multiples. La conséquence est que le curcuma connaît un succès croissant en tant que complément alimentaire. 100 grammes de curcuma contiennent 3 à 5 grammes de curcumine.

Les médecines traditionnelles chinoise et indienne exploitent les vertus thérapeutiques de la curcumine depuis des milliers d’années. Elle est particulièrement connue pour ses puissantes propriétés anti-inflammatoires. Or, comme vous le savez sans doute, l’inflammation chronique est un facteur sous-jacent de nombreuses maladies chroniques, si ce n’est pas de toutes. Il a été démontré que la curcumine influence l’expression de plus de 700 gènes, ce qui pourrait expliquer en partie ses nombreux bienfaits sur la santé.

Ses effets sur le cancer ne sont donc pas, et de loin, son seul intérêt. Toutefois, c’est de son potentiel en tant qu’agent anti-cancer dont je vais vous parler aujourd’hui. A la fin de cet article, vous trouverez également une liste de mesures préventives contre le cancer à appliquer dans la vie de tous les jours.

La curcumine efficace chez les souris contre une tumeur du cerveau mortelle

Dans un article publié dans le Journal of Nutritional Biochemistry du mois de juillet 2011, des chercheurs expliquent que la curcumine pourrait être la solution pour stopper un type mortel de cancer du cerveau appelé glioblastome. L’étude, réalisée sur des souris, vient appuyer des observations qui avaient déjà été faites auparavant. Les scientifiques y ont montré qu’elle réduisait la tumeur chez 9 des 11 animaux étudiés (81 %), sans montrer de signe de toxicité. (1)

Mieux encore, la curcumine n’affectait pas les cellules en bonne santé, suggérant qu’elle cible sélectivement les cellules cancéreuses. Ils ont aussi constaté qu’elle agissait en synergie avec deux médicaments utilisés en chimiothérapie, augmentant l’élimination des cellules cancéreuses.

Les auteurs déclarent :

« En résumé, les données présentées ici suggèrent que la curcumine est un agent potentiel pour les thérapies des glioblastomes. »

Un des MEILLEURS compléments pour beaucoup de cancers

Mais les médecins connaissaient depuis de nombreuses années ce potentiel anticancer de la curcumine. Parmi tous les nutriments, c’est elle qui a fait l’objet du plus grand nombre d’articles scientifiques sur ses vertus anti-cancer.

Une étude publiée en 2008 dans la revue scientifique Cancer Prevention Research a observé que la curcumine inhibe la motilité (leur capacité à se déplacer) des cellules du cancer du sein et leur propagation en inhibant le fonctionnement du l’alpha-6-bêta-4 intégrine, ce qui implique qu’elle pourrait servir comme agent thérapeutique efficace dans les tumeurs qui surexpriment l’alpha-6-bêta-4. (L’alpha-6-bêta-4 est associé au développement du cancer en contribuant à la résistance des cellules à l’apoptose et aux métastases. L’apoptose signifie la mort cellulaire programmée : les cellules cancéreuses ont la particularité de ne pas mourir quand elles le devraient, ce qui contribue au développement des tumeurs). (2)

En 2009, une étude publiée dans la revue scientifique Molecular Pharmacology a observé que la curcumine inhibe la croissance des cellules cancéreuses du pancréas, et accroît la sensibilité des cellules à la chimiothérapie. (3)

Une étude de 2009 a constaté que la curcumine favorise la mort cellulaire des cellules du cancer du poumon. (4)

Une étude de 2010 a conclu que la curcumine a la capacité de cibler les cellules souches cancéreuses. (5)

Comment la curcumine combat-elle le cancer ?

En Inde, où le curcuma est très répandu dans la cuisine, la prévalence, c’est-à-dire la fréquence, de quatre cancers très répandus chez nous – cancer du côlon, du sein, de la prostate, du poumon – est dix fois plus faible. En fait, le cancer de la prostate, qui est le plus souvent diagnostiqué chez les hommes européens, est rare en Inde, et ce phénomène est attribué, en partie, à la consommation de curcuma. Il apparaît que la curcumine agit contre le cancer de plusieurs façons :

  • Inhibe la prolifération des cellules des tumeurs ;
  • Aide votre corps à détruire les cellules mutantes, afin de les empêcher de se répandre dans votre corps ;
  • Inhibe la transformation de cellules normales en cellules de tumeur ;
  • Diminue l’inflammation ;
  • Empêche le développement des vaisseaux sanguins nourrissant la tumeur ;
  • Inhibe la synthèse d’une protéine considérée comme essentielle pour la formation des tumeurs.

Anti-inflammatoire-CurcumaQuel est le meilleur type de curcuma ?

Pour bénéficier de toute la puissance de la curcumine, choisissez un complément alimentaire à 100 % de curcumine, extrait de curcuma certifié biologique, contenant au moins 95 % de curcuminoïdes. La formulation ne doit contenir aucun additif ni excipient (la substance ajoutée au complément pour faciliter la fabrication ou la conservation), et le fabricant doit apporter une garantie de qualité sur toute la chaîne de production : non-pollution des sols, plantation, culture, récolte sélective, production et conditionnement du produit final.

Pour la cuisine, choisissez une poudre de curcuma pure plutôt que du « curry ». Biologique de préférence. Une étude scientifique a montré que la poudre de curry tend à contenir très peu de curcumine en comparaison avec le curcuma.

Conseils pour l’usage de la curcumine

Actuellement, il n’existe pas de formulation disponible dans le commerce pour être utilisée contre le cancer, et il faut que vous sachiez que de hautes doses sont nécessaires, la curcumine n’étant pas très bien absorbée par l’organisme. La dose anti-cancer typique peut atteindre 3 grammes d’un bon extrait biodisponible de curcumine, trois à quatre fois par jour.

Pour contourner ce problème, vous pouvez faire une micro-émulsion de poudre de curcumine. Mélangez une cuillère à soupe de curcumine avec 1 ou 2 jaunes d’œufs, avec une cuillère à café ou deux d’huile de noix de coco fondue. Utilisez ensuite un mixer pour émulsifier le mélange.

Une autre stratégie qui peut aider à augmenter l’absorption de la curcumine est de mettre une cuillère à soupe de poudre de curcumine dans 12,5 cl d’eau bouillante (elle doit bouillir au moment où vous ajoutez la poudre, l’efficacité est réduite si l’eau est tiède). Après l’avoir fait bouillir 10 minutes, vous aurez créé une solution à 12 %, que vous pouvez boire une fois rafraîchie. Vous y trouverez un goût boisé. Notez bien que la concentration en curcumine va diminuer progressivement. Au bout de six heures, la solution ne sera plus qu’à 6 %, donc il est préférable de la boire dans les quatre heures.

Attention aux tâches : la curcumine est un pigment jaune très puissant. Ce liquide peut tâcher de façon indélébile non seulement les tissus, mais également certains plastiques (matériel de cuisine). A manipuler, donc, avec précaution.

Prévenir le cancer : 11 conseils pour diminuer votre risque d’être frappé

Ces trente dernières années, le cancer a doublé dans le monde, et les estimations indiquent qu’il pourrait tripler d’ici 2030. Clairement, nous devons commencer à nous occuper sérieusement de prévention du cancer.

L’impressionnant potentiel de la curcumine pour combattre le cancer ne doit pas faire oublier qu’un mode de vie sain – et non l’absorption de quelconques quantités de compléments alimentaires – est la MEILLEURE façon d’éviter de devenir une nouvelle statistique des ravages du cancer. Ma conviction est que vous pouvez potentiellement éliminer votre risque de cancer et d’autres maladies chroniques, et améliorer radicalement vos chances d’en guérir si vous êtes actuellement touché, en suivant les stratégies suivantes de réduction du risque :

  • diminuez fortement votre consommation de sucres et de féculents (aliments contenant une grande quantité d’amidon). Cela vous permettra de normaliser votre niveau d’insuline dans votre sang, une hormone qui stimule la croissance des cellules cancéreuses. C’est l’une des plus efficaces mesures que vous puissiez prendre pour diminuer votre risque de cancer, et pour ce faire, réduire votre consommation de sucre, céréales et pommes de terre est la priorité. L’élimination des aliments à index glycémiques élevés est particulièrement importante car ce sont eux qui stimulent le plus votre insuline.
  • Optimisez votre niveau de vitamine D, pour le maintenir entre 50 et 70 ng/mL. Les preuves scientifiques qui témoignent du fait qu’une déficience de vitamine D joue un rôle crucial dans le développement du cancer sont écrasantes. Les chercheurs dans ce domaine ont estimé qu’environ 30 % des décès par cancer pourraient être évités chaque année en optimisant les niveaux de vitamine D de la population générale. (6) A votre niveau personnel, vous pouvez diminuer votre risque de cancer de moitié ou plus, simplement en vous exposant assez au soleil toute l’année, mais cela est rarement suffisant dans nos pays à faible niveau d’ensoleillement. L’utilisation d’un complément oral de vitamine D s’avère souvent indispensable. Si vous êtes traité pour un cancer, il est probable qu’un niveau sup&eacut e;rieur de vitamine D (de 80 à 90 ng/ml) vous soit bénéfique.
  • Faites régulièrement de l’exercice physique : il existe des signes probants que l’exercice physique diminue fortement votre risque de cancer, principalement en réduisant les niveaux d’insuline et en normalisant les hormones anabolisantes. Par exemple, les femmes qui font régulièrement de l’exercice peuvent diminuer leur risque de cancer du sein de 20 à 30 % par rapport aux inactives. L’exercice n’a pas besoin d’être intensif, au contraire, mais il doit être fréquent et varié.
  • Augmentez vos apports d’acides gras oméga-3 d’origine animale (EPA et DHA). De nombreuses recherches suggèrent qu’ils jouent un rôle dans le contrôle de l’inflammation et dans l’efficacité du système immunitaire à combattre les cellules cancéreuses (7) ;
  • Mangez beaucoup de légumes, idéalement frais et bios, en privilégiant les légumes colorés et en particulier les légumes verts à feuilles ainsi que les crucifères, c’est-à-dire toutes les sortes de chou mais aussi les radis et le cresson, qui ont des propriétés anti-cancer intéressantes.
  • Dotez-vous d’une technique personnelle pour diminuer vos émotions négatives qui risquent d’activer vos gènes de cancer. Le yoga, la prière, la méditation, la sophrologie font partie des moyens de rétablir un équilibre intérieur propice. Si vous êtes déjà touché par la maladie ces techniques peuvent vous aider à mieux combattre la maladie.
  • Conservez votre poids idéal ;
  • Dormez assez, et d’un sommeil de bonne qualité ;
  • Réduisez votre exposition aux toxines environnementales, comme les pesticides, les produits chimiques ménagers, les désodorisants d’ambiance, la pollution atmosphérique et les toxines des plastiques comme le bisphénol A.
  • Cuisinez en privilégiant les modes de cuisson doux : pochage, cuisson à la vapeur, ébullition, plutôt que friture. Evitez absolument la cuisson au barbecue.

 

4 avril 2013
de Clinique d'Ostéopathie Olys Villeray Montréal
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12 bienfaits de l’ostéopathie pendant la grossesse…

Que vous ayez déjà consulté un ostéopathe pour des douleurs diverses ou que vous ne connaissiez nullement les bienfaits de l’ostéopathie… Sachez que durant la grossesse, elle peut vous apporter beaucoup, tant au niveau de la préparation à l’accouchement qu’au soulagement de nombreux maux liés à votre état. N’hésitez plus !
L’ostéopathie : Une science qui a son importance enceinte…
Durant 9 mois, votre corps va se transformer, votre squelette va bouger et vous allez prendre du poids. L’équilibre de votre corps va donc s’en trouver modifié et vous risquez d’être prise de douleurs diverses que toutes les mamans connaissent bien. L’ostéopathie peut en quelques séances, rétablir cet équilibre musculo-squelettique. D’ailleurs, même sans douleurs particulières, toute femme enceinte devrait consulter un ostéopathe au moins trois fois pendant la grossesse : Une première fois en tout début de grossesse, une seconde fois vers les 6 mois, et enfin une ultime visite au début du 9ème mois. Des séances supplémentaires peuvent être indispensables en cas de maux particuliers. Le suivi d’un ostéopathe au cours d’une grossesse peut améliorer grandement l’état physique et le bien-être d’une femme enceinte.

Petite liste des vertus de l’ostéopathie pendant 9 mois…
Basée sur des techniques de manipulations et de massages doux, sans douleurs et sans dangers pour maman et bébé, l’ostéopathie a de quoi vous faire vivre 9 mois de bonheur sans l’ombre d’un nuage… Découvrez la liste de tout ce que peut améliorer l’ostéopathie dans votre vie de femme enceinte :

1. Soulager les maux de dos.
2. Calmer les nausées et les vomissements.
3. Apaiser les douleurs liées aux hémorroïdes.
4. Amoindrir les gonflements des mains et des jambes.
5. Faire adopter à bébé une position plus confortable pour la maman.
6. Atténuer une sciatique en fin de grossesse.
7. Améliorer la capacité respiratoire.
8. Soulager les remontées acides et maux d’estomac.
9. Atténuer les contractions.
10. Détendre le périnée afin d’éviter une épisiotomie.
11. Corriger votre posture.
12. Vous libérer de toutes les douleurs ligamentaires.

L’ostéopathie étant sans danger pour maman et bébé, lancez-vous les yeux fermés ! Nul doute qu’avec un tel suivi, votre grossesse sera sans aucun doute un merveilleux voyage au pays du bonheur, celui d’être bientôt une nouvelle maman bien dans sa peau et dans son corps, prête à accueillir en pleine forme son petit chérubin.